La défense étudie l’intérêt du laser pour surveiller l’espace
Il y a 3 ans, il était estimé qu’environ 370.000 débris, provenant essentiellement de fusées, évoluaient dans l’orbite basse de la terre. Si l’un d’eux entre en collision avec un satellite, alors il y aurait, selon un rapport du Pentagone publié à la même époque, un risque de « réaction en chaîne incontrôlée »
En effet, un tel choc produirait des milliers de débris supplémentaires, laser pour chasse lesquels seraient à leur tour susceptibles de détruire d’autres satellites. Et ainsi de suite. Le coût d’un tel scénario catastrophe avait été estimé à 250 milliards de dollars, sans compter l’impact sur les services de télécommunications, les prévisions météorologiques, les observations scientifiques et les capacités militaires.
Des radars ont été mis en place pour surveiller la trajectoire des débris ainsi que les autres satellites. pointeur laser 500mw Le Centre national d’études spatiales (CNES), à Toulouse, calcule ainis les risques de collision avec les engins dont il a la charge et prend des mesures de pilotage.
Pour cela, il peut compter sur les données fournies par le système GRAVES (Grand Réseau Adapté à la VEille Spatiale), entré en service en 2005, mettant ainsi la France au même niveau que les Etats-Unis et la Russie dans ce domaine. La surveillance de l’espace est d’ailleurs une mission de l’armée de l’Air, via une division au sein du Commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA).
Outre les radars, il est question d’avoir recours à des technologies basés sur le laser pour améliorer les capacités de surveillance. Visiblement, laser pointer 10000mw cette option est envisagée par la France, si l’on en croit une réponse faite par le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, au député François Cornut-Gentille.
« Au cours des derniers mois, le ministère de la défense a réalisé une étude tendant à évaluer l’intérêt que présentent les potentialités offertes par les lasers pour la surveillance de l’espace, assortie d’une analyse des risques qu’un tel procédé pourrait faire peser sur des satellites en orbite basse. Ce travail, achevé au mois de janvier 2014, a permis de conclure à la maturité des technologies pour laser pour arme la télémétrie de nuit », explique le texte.
Le fait est, un avis d’attribution de marché public a été passé par la Direction générale de l’armement (DGA) en janvier 2013, dans le cadre d’une « Etude technico-opérationnelle de l’intérêt du laser pour la surveillance de l’espace (Ilase) ». Cette dernière a été confié à EADS Astrium (aujourd’hui Airbus Defense & Space).
La réponse du ministre met un bémol sur l’usage du pointeur laser classe 3b pour la télémétrie de nuit. « De nombreux éléments (conditions atmosphériques, positionnement des stations, temps d’observation…) sont susceptibles de perturber l’emploi des lasers pour des opérations de trajectographie », affirme-t-il.
En revanche, la télémétrie de jour « permettrait quant à elle d’accroître les durées d’exploitation d’un système de surveillance à base de acheter ligne laser, mais nécessiterait la levée de difficultés technologiques que seules de rares nations ayant développé des compétences spécifiques dans ce domaine sont aujourd’hui en mesure d’éviter ».
Et de conclure : « le recours au laser semble pouvoir être source d’un réel apport en matière d’imagerie spatiale. Mais une telle utilisation exigerait une grande précision de pointage et un éclairement des satellites risquant de nuire aux capacités de leurs capteurs optroniques ou même d’endommager ces derniers ».
Par rapport aux autres modes de mesures, le laser – donc la lumière – est beaucoup plus précis.
« La diffraction est moindre pour les courtes longueurs d’onde du domaine optique ; on peut alors matérialiser des faisceaux faiblement divergents (de quelques secondes d’arc) et utiliser des collecteurs assez compacts (…) La propagation des ondes optiques, viseur laser airsoft au contraire des ondes radio, est peu perturbée par les milieux ionisés, ce qui permet d’atteindre une bonne précision même lorsque les faisceaux traversent le plasma solaire ou l’ionosphère terrestre et les courtes longueurs d’onde permettent de réaliser des modulations rapides, par exemple des impulsions picoseconde (10–12 seconde) et même femtoseconde (10–15 seconde) », peut-on en effet lire dans les colonnes du mensuel spécialisé Pour La Science.
Laser veut dire « Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation », soit, en français : « amplification de la lumière par émission stimulée de rayonnement »
Quand même ! Les satellites d’observations espions sont assez communs, et il est vrai qu’un bon coup de laser dans les optiques ça ne leur fait pas du bien.
L'an dernier, le FBI a commencé à offrir une récompense de $ 10 000 pour toute information menant à l'arrestation de toute personne qui vise intentionnellement par un laser à un avion.
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